travaux rue des pompiers david contre goliath!

comme je l'avait prevu il ne se passe rien puisque la secomile nous renvoient à la mairie, il parait que c'est la mairie qui à préféré mettre des grilles à la place de pannaux pleins qui auraient limité la polution, comment peut on accepter cette agression d'un chantier qui polue les passants , les riverains ainsi que nos voitures, car ce que j'ai sur ma voiture c'est bien cela de la poussiere de beton, d'ailleurs je suis obliger d'aller à la station car ça ne part pas donc nous respirons aussi cela et avec la benédiction de la mairie, les ouvriers ont des masques maintenant, pas nous, c'est donc qu'il y a danger donc vu que personne ne veut rien faire, nous allons passer à la vitesse supérieur, ça commence part la plainte afin que l'on puisse me rembourser le nettoyage de ma voiture, voir la peinture, pour nos poumons on verra, et ensuite la presse viendra constater les faits!

La rencontre entre la société en charge de la construction de la résidence pour le compte de la Secomile et la mairie a eu lieu la semaine dernière. La dite société a assuré que les travaux aux horaires tardifs, source de nuisance pour le voisinage, seraient interrompus. Il a d'ailleurs fallu que la mairie intervienne à nouveau après cette réunion pour réellement faire appliquer ces horaires.
Sachez par ailleurs que la mairie n'a en aucun cas réclamé des grilles au lieu de panneaux pleins. Cette solution a d'ailleurs été évoquée à la dite société lors de la rencontre la semaine dernière. Le responsable du chantier a expliqué que l'installation de panneaux pleins ne règlerait pas le problème puisque poussières et éclats de matière passeraient au delà de la palissade. Ils ont en revanche expliqué qu'ils utilisaient une sorte de bâche pour empêcher au maximum les projections de béton.
Au final, ils ont assuré que cette phase du chantier (bétonneuse dans la rue des Pompiers) serait achevée à la fin de cette semaine... Les nuisances devraient donc être moins importantes dès la semaine prochaine.
Enfin, les ouvriers ont été contraints d'adopter une technique différente de celle initialement prévue, en raison de grosses difficultés rencontrées sur la nature même du terrain. C'est ce qui explique notamment les nuisances que nul n'imaginait.